La Chambre DHôte. 1/3
Jétais parti en vacances dans le sud, jarrivais en vue de la chambre dhôte, cétait une vieille ferme en pierres, retaper. Devant celle ci une piscine autour de laquelle deux femmes prenaient le soleil. Je me garai dans lallée près de la piscine. Les deux femmes se levèrent pour maccueillir. Lune delles, 45 ans environ, sûrement la propriétaire, portait un maillot de bain une pièce bleu, elle était brune les yeux bleus, plutôt petite et bronzé. Lautre, je suppose sa fille, la vingtaine, les cheveux longs blonds bouclé, fine et grande, les seins nus, portait un maillot qui ressemblait plus un string rouge. Je sortie de la voiture, mavança vers elles, leurs tandis la main pour leur dire bonjour.
- Bonjour je suis M. C, vous devez être la propriétaire.
- Oui bonjour ravi de vous accueillir, mais appelez-moi Virginie, voici ma fille Sarah.
Apparemment la mère et la fille nétait pas gêner que celle ci se présente à moi les seins à lair. Je ne pouvais mempêcher de les regarder, petit en forme de poires, des tétons bien rose. Sarah remarqua que mes yeux ne décrochaient pas de ses seins pendant que je parlais à sa mère, mais fit comme si rien nétait.
- Prenez vos bagages, je vais vous montrez votre chambre. Vous avez trouvé facilement ?
- Oui, oui dis-je en ouvrant mon coffre et prenant mes valises.
Sarah ouvrait la marche, suivie de sa mère et moi derrière avec mes valises. Devant la piscine une baie vitrée devant laquelle il y avait une table et des chaises pour les repas extérieurs, au-dessus de la baie un petit balcon donnait sur la piscine. Nous entrâmes, cétait un petit salon attelant à la cuisine.
- Cest ici quon prend le petit déjeuner dit Virginie en montrant de la main la table de la cuisine. A partir de 7h jusque 9h.
- Très bien cest parfait dis-je en regardant Sarah sasseoir dans le canapé et allumé la télé.
Sa mère est moi continuèrent dans la maison, nous primes un escalier qui nous conduit à létage, elle ouvrit une porte.
- Voilà cest votre chambre, tout en allant ouvrir les rideaux, jespère quelle vous convient.
- Cest très beau rustique et moderne à la foi, je dois dire que vous avez bon gout.
- Merci dit-elle rougissant légèrement. Je vous laisse vous installer, déjeuner de 12h à 14h, diner de 19h à 21h et me prévenir la veille si vous mangez à lextérieur, sexclama-t-elle en souriant.
- Très bien encore merci.
Sur ces mots elle quitta la chambre et je minstallai.
Nous nous retrouvâmes pour le diner devant la piscine. Celui-ci fut rapide pour Sarah qui engloutit son assiette, se leva et dis à sa mère.
- Je sors ce soir maman ne mattends pas, elle embrassa sa mère tourna la tête vers moi souriante, bonsoir M. C.
- Bonsoir et euh vous et votre mère appelez-moi Patrick je vous en prie.
- Daccord bonsoir Patrick.
Et elle fila sur le chemin qui descendait vers la ville. Je restais un moment à bavarder avec sa mère, mais la fatigue du trajet aidant, je quittai la table rapidement pour aller me coucher. Le petit balcon qui donnait sur la piscine était dans ma chambre, je my accoudais une minute à la rambarde pour respirer lair, la bonne odeur du sud et des vacances, puis alla mécrouler sur le lit.
Javais laissé la porte du balcon ouverte, il faisait très chaud, je fus réveillé par un bruit de moteur. En slip et en sueur je me levai pour aller voir discrètement. Cétait Sarah qui apparemment se faisait raccompagner en scooter.
Elle attira le jeune homme au bord de la piscine, sassis sur le transat et quand elle commença à défaire la ceinture du gars je me suis cacher en gardant un il sur ce qui allait de toute évidence se passer.
Elle sorti le sexe du garçon, qui je dois dire, était de bonne taille même sil bandait déjà. Elle assise dans sa petite robe dété jambe légèrement écartées, robe relevée en haut des cuisses, où jaurais pu distinguer sa culotte sil ne faisait pas si sombre.
Elle le branlait plus fort à présent et engloutit son gland, le suçait, le léchait, le pompait avec envie. Lui debout, raide, la tête légèrement en arrière et par intermittences le regard plongé dans celui de Sarah, émettait des râles de plaisir.
Sarah enleva sa culotte et commença à se caresser tout en continuant à cette fellation denfer. Jétais très excité et me branlait assidument. Tout à coup Sarah se leva, se retourna, à genoux sur le transat et remonta sa robe sur son dos. Le garçon compris de suite. Il sintroduit et son râle de plaisir fut synchro avec le gémissement de Sarah sentant le membre raide la pénétrer. Il commença un va et vient soutenu dans la chatte de Sarah qui ne disait mots. Deux minutes après il sorti sa queue et explosa sur les fesses rondes et lisses de la belle.
Elle se releva et dun ton sec lui dit : - Casses-toi maintenant.
Le garçon pris son scooter et senfuit sans demander son reste. Jentendis Sarah rentrer et moi toujours cacher la bite à la main. Je mallongeai sur le lit pour me faire jouir et mendormit jusquau matin.
Virginie mavait dit que si je ne métais pas la pancarte « ne pas déranger sur la porte », Sarah entrait faire le lit le matin. Je men suis rappeler quand nu, sortant de la douche, je me retrouvai face à elle dans la chambre. Elle portait une petite robe dété jaune avec de gros bouton devant du haut jusquen bas. Elle était très mignonne bouche ber devant moi nu comme un ver. Jétais figé, surpris je nai même pas eu le réflexe de prendre quelque chose, nimporte quoi, pour cacher mon sexe. Elle navait pas lair gêné et souriait, moi redevenu lucide pris une serviette pour mettre autour de ma taille.
- Je
je suis désolé bafouillant des excuses.
- Non cest moi je pensais que vous étiez en bas Patrick.
- Je nai pas pensé à mettre la pancarte donc cest ma faute dis-je en gloussant ce qui la fit rire en peu.
- Maintenant que je suis là, je peux faire le lit ?
- Euh, un moment dhésitation menvahit.
Elle se dirigea vers le lit, sa question était plutôt une affirmation en fait, mais je repensai à ma branlette de cette nuit et au sperme sur les draps qui navait pas eu le temps de sécher dans cette moiteur.
Elle prit le drap à pleine main, pile à lendroit quil ne fallait pas et le relâcha brusquement.
- Cest quoi ça
cest
elle étouffa un rire, se retourna vers moi, je vais peut-être vous laissez nettoyer ça.
- Je suis désolé.
Arriver à la porte elle se retourna, elle me regardait torse nu une serviette à la taille, je crois quelle se repassait limage de moi nu devant elle, javais lair de lui plaire. Elle regarda sa main, humide de mon sperme, réfléchit un instant.
- Vous vous êtes branlé cette nuit ?
- Pris la main dans le sac, si je puis dire.
- Non, je veux dire, vous mavez maté avec ce mec et vous vous êtes branlé ?
- Bon, cest vrai, vous mavez excité tous les deux, jai commencé à me branler, puis le garçon est parti, alors je me suis allongé en pensant à la première vision de tes petits seins quand je tai vu la première fois et jai jouis.
- Ah vraiment mes petits seins vous plaisent ? dit-elle en souriant avec un air très coquin mordillant son index.
Puis elle sorti de la chambre en riant. Apparemment, elle nétait pas timide. Elle avait laissé la porte entrouverte, je ne lavais pas vraiment remarqué, encore sous le charme de la demoiselle. La porte souvrit, au moment où je retirais la serviette pour mhabiller, par réflexe je me retournai, la queue à lair la serviette à la main. Cette fois cétait Virginie et encore une fois je suis resté figer. Elle, par contre, était très lucide, son regard se fixa sur mon sexe.
- Hummm belle engin.
- Désolé la porte était restée ouverte. (en remettant la serviette)
- Pas grave, ça valait le coup dil. Dit-elle en riant. Je croyais que Sarah avait fait le lit, mais non, je vais le faire.
- Non, je vais le faire, ce nest pas grave. Larrêtant juste à temps.
Elle me regardait, lair coquin, son regard allait de mes yeux à ma serviette, puis revenait sur mes yeux. Elle retourna vers la porte, la ferma, puis revint vers moi, tout près de moi. Elle posa une main sur ma queue.
- Un si belle engin, pourquoi le cacher sous une serviette ?
- Effectivement, dit je la gorge serrée par sa caresse sur mon membre qui commençait à gonflé.
Elle se jeta sur moi, membrassa goulument, suçant ma langue, caressant ma queue. Elle me poussa vers le lit, jeu juste le temps de prendre le drap dune main et de le jeter hors du lit, avant de mécroulé sur celui-ci. Pendant ce temps elle avait écarté la serviette et sorti ma queue déjà raide, elle la serrait fort avec envie. Elle me branla doucement. Elle sagenouilla, me regarda la bouche devant mon membre érigé devant elle.
- Ça fait longtemps elle me donne envie.
- Régale-toi alors.
Elle posa ses lèvres juste sur le bout du gland, titilla quelques seconde la petite fente avec sa langue, puis glissa le long de ma queue en me regardant dun air gourmand et avec un « hummm » de plaisir légèrement étouffé par sa bouche emplit de mon membre. De mon côté un râle de plaisir méchappas tellement cette descente de ses lèvres sur ma queue était bonne. Elle allait et venais avec ses lèvres, cétait de plus en plus chaud de plus en plus humide et bon. Elle la prit avec une main, me branlait lentement, puis plus vite, puis plus lentement à nouveau, pendant que la bouche fermer sur mon gland pompait fort, suçait. Par moment lâchait son étreinte pour que sa langue glisse du sommet de mon gland jusquà mes couilles. Elle recommença inlassablement ses gestes sur ma queue toujours plus raide, elle me procurait tellement de plaisir, je navais quune envie la prendre.
- Jai envie de toi.
- Prends moi vas-y.
- Je veux te gouter dabord.
- Non jai trop envie prends moi.
Je la déshabillai rapidement, je lallongeais sur le lit, elle était là, impatiente, jambe écartées, croupe dont les poils luisaient de mouille, offerte. Je vins au-dessus delle, les yeux dans les yeux, lembrassa, le gland à lentrée de sa grotte.
- Prends-moi.
- Non pas encore.
- Je ten prie ne me fais pas languir.
- Pourquoi pas dis-je en souriant.
- Entre en
elle fut interrompu par mon membre qui sintroduit dun coup sec jusquau fond et ne put quexpulser un gémissement long et fort, qui me fit comprendre le plaisir quelle ressentait davoir un sexe dhomme en elle.
Ses jambes se refermèrent sur mes fesses pour me garder au fond un moment. Elle membrassa fougueusement. Je commençais à aller et venir, elle, toujours ses jambes sur mes fesses pour me pousser bien au fond. Ses mains mempoignaient me tirant vers elle. Plus jy allais fort, plus elle était déchainée.
- Oui cest bon, prend moi fort. Aaaahh Ouiiiii
- Oooh je te savais pas aussi chaude, tu caches bien ton jeu, Ouiiiii
Un moment jeu peur que sa fille rapplique tellement elle criait fort. Je me mis sur le dos elle sur moi, je la laissais me baiser. Elle montait et descendait sur ma queue comme une folle. Un premier orgasme la foudroya et minonda. Elle tremblait figé sur ma queue, la tête en arrière comme en transe, sa respiration était très rapide. Elle se calma, se redressa membrassa.
- Quelle jouissance hummmm.
- Je lai senti oui, il devait être très bon cest orgasme.
Puis elle recommença a monté et descendre comme une folle, elle en voulait encore et jallais lui donné ce quelle voulait.
- Je vais te prendre en levrette.
- Oh oui jadore dépêche-toi vas-y.
Derrière elle le gland à lentrée, je pousse fort et entre de tout mon membre, elle crie de plaisir. Je latt par les fesses et commence à la pilonner très fort. Un second orgasme vient la terrasser, sa chatte se contracte fort sur ma queue et je nai eu que le temps de me retirer pour jouir sur son cul luisant de sueur et de foutre à présent.
Nous tombâmes épuisés, lun à côté de lautre sur le lit. On se regarda en souriant.
- Merci pour ce bon moment cétait inattendu et très bon.
- Oui en effet, je nai pas pu résister en voyant ta belle queue.
Elle me donna un baiser, se rhabilla rapidement, et passant la porte de la chambre.
- Je sers le petit déjeuner dans 20 minutes. Dépêche-toi.
- Jarrive.
Après une deuxième douche, je descendis prendre le petit déjeuner.
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